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Expérimentation de la mobilité douce avant les expériences DRO

Depuis une vingtaine d’années, des initiatives autour de la mobilité, dont le covoiturage, ont émergé avec des entreprises précurseurs dans cette démarche. L’objectif de cette page est de partager des expériences d’entreprises ayant testé et mis en œuvre des solutions de mobilité douce pour leurs salariés dans la région Nantaise, avant le déploiement du groupe de travail Mobilité par DRO.

VIF 

  • Contexte : VIF devait déménager son siège à La Chapelle-sur-Erdre.
  • Initiative : L'entreprise a initié un collectif d’entreprises locales pour participer à l’aménagement des stations de transport en commun près de leur nouvelle zone d’activité.
  • Objectif de mobilité douce :
    • 50 % de ses salariés en mobilité douce pour les trajets domicile-travail.
    • Répartition cible : 1/3 en covoiturage, 1/3 en transports en commun, et 1/3 en transports musculo-électriques (vélo, trottinette...).
  • Performance : Un objectif réaliste serait déjà d'atteindre 10-15 % de covoiturage au sein d’une entreprise.

Saunier Duval 

  • Contexte : Eric Yvain, ancien dirigeant de Saunier Duval, est un acteur majeur des initiatives de mobilité des DRO.
  • Constat sur les freins au covoiturage :
    • Le principal frein n’est pas lié aux préférences personnelles (conversation, radio, etc.), mais à l’ignorance des trajets communs partagés par les salariés.
    • Beaucoup de personnes effectuent le même trajet au même moment, sans avoir la possibilité de se connaître ou de coordonner leur covoiturage.
    • L'absence de dispositifs facilitant les rencontres entre les salariés ayant des trajets similaires est le frein principal au covoiturage.
  • Conclusion : Sans une mise en relation structurée, les trajets se font côte à côte sans interaction, empêchant la formation de covoitureurs potentiels.